J'accuse... la Justice !!

Un article qui ne plaît pas à tous, mais mis à part dans "l'image", on me connaît également pour ma franchise, et mon honnêteté. Termes associés auxquels je tiens, car après avoir subit quelque peu de harcèlement avec mon ancienne timidité donc ne pas oser dire, je délie largement ma langue, mes pensées, à en déplaire...


POURQUOI CE TITRE ??
Toutes les personnes qui suivent l'actualité le savent, ce grand réalisateur dont je tairais ici le nom, car soit dit en passant, toute pub est bonne à prendre, est aussi l'acteur de nombreux faits trop tolérés à ce jour par des protagonistes prétextant Être de justice (Être..humain). Ce titre relève d'un film, avec un beau casting, nominé pour 12 Césars...

UN FESTIVAL ACCUSÉ 
Le Festival de Cannes se présentera bientôt à nos yeux, avec tous ses beaux artistes, et toujours, aux goûts de chacun, ses erreurs... Nommé un titre, un être, c'est lui donner de la valeur. La valeur prônée de ce fait serait l'agression, car 12 est beaucoup trop. 12 étant le nombres de ses victimes, comme un signe révélateur. Révélations effectuées, Mr avoue, et penserait retirer son film exposé comme chef d'oeuvre. Mais qu'en est il...

J'ACCUSE... ENCORE. je cite :
● L'Association Osez le Féminisme twitte
: "Si violer est un art, donnez à Polanski tous les Césars" 
--> une victime a pour limites l'agresseur, j'accuse 
● Le président de l'académie des Césars l'affirme
: "Les césars n'ont pas de positions morales"
--> L'artistique touche la sensibilité donc la morale, j'accuse
● 12 Césars... pour 12 victimes. France Inter 
: "un adoubement du monde du cinéma qui indigne"
--> la consécration au travers les droits de la femme, j'accuse 

MA JUSTICE, ce que j'en pense
Une victime a la possibilité de faire-valoir ses droits en déposant une plainte en commissariat, gendarmerie, en accueil tgi pénal de son tribunal de secteur ou en ligne sur internet. Voir à l'igpn (contre police) ou iggn (contre gendarmerie) sur internet. 
Le procureur par la suite, après une enquête, fait passer la plainte afin de la juger. Dès lors, un verdict est rendu...et quelle réponse. Cette attente pouvant durer des années se termine par du sursit ou une fine peine semie effectuée par ailleurs. Les amendes sont également maigres voir inexistantes. 
L'intérêt, reconnaître le statut de victime afin de l'aider au mieux à se sortir de cette impasse psychique créée, ne pas se sentir une fois de plus brimée, poser des limites à une personne n'en ayant pas ou trop peu. Au final, amener au mieux chaque protagoniste à suivre un chemin plus sain car oui, l'agresseur doit suivre des soins, quelque soit le type d'agression et cela n'est pas mis en avant non plus.
La justice est devenue laxiste, du policier au procureur. Le policier ne prend plus de plaintes ni mains courantes, on note...sous divers prétextes, le final n'en est pas un non plus. Il y a des carences du début à la fin. 
Seulement être considérée, écoutée, comprise, non maltraitée ni brimée. D'une toute logique, on doit le respect à l'être. Mais cela n'est plus évident. Les valeurs sont à demander, plus tellement inculquées. 

Mais pour ma part, vous le savez, le plus gros souci c'est la justice...

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